Dimanche 26 Aout - SORTIE TOURMALET-SOULOR-AUBISQUE

Ce Dimanche matin, aprés avoir fait dans la semaine, un certain bilan de ma vie et un tri dans mon entourage, j'avais plus que besoin de mon fidéle compagnon à deux roues afin qu'il m'améne sur les sommets de l'effort... A choisir, je préféres souffrir physiquement que moralement, la récupération est plus facile et plus rapide. Au programme, Tourmalet, Soulor et Aubisque.

Donc, à 9H30', me voilà parti de la maison sous un beau soleil un peu frais tout de même, direction le Toumalet, via Tarbes, Bagnéres de Bigorre afin de le monter par le côté le plus court, celui de La Mongie que je n'avais pas encore fait cette année. A Sainte-Marie, j'attaques donc le col (Alt: 2115m. 17.2 kms à 7.4 de moy.). Les 4 premiers kilométres autour de 4% de moy se font tranquille et c'est à Gripp que commencent les pentes sérieuses entre 8 et 10% sur 12 kms. Je gére, connaissant le parcours prévu. J'atteins le sommet en 86'. La fraicheur m'oblige à revêtir 2 couches supplémentaires avant de basculer dans la descente sur Luz. Dans la vallée, un vent violent remontant de la plaine m'oblige à pédaler dans les gorges de Luz afin d'atteindre Pierrefitte-Nestalas où j'attaques le petit col de Matet par Saint-Savin (Alt: 685m. 6.5 kms à 3.5% de moy). Un peu plus haut, je rejoins la vallée d'Arrens par Bun pour attaquer le col du Soulor (Alt: 1474m. 7.4 kms à 8.2% de moy.) Là aussi, je ne cherche pas à battre des records et je monte à mon rythme ce col court mais pentu. Malgré cela, j'égale mon record des 3 derniéres montées, soit 39'. Au sommet, je discutes avec un parisien qui venait de se monter le 1° col de sa vie. Génial. Il me prend en photo, je lui donne RDV sur mon blog (Salut à toi si tu me lis) puis je me diriges vers le Cirque du Litor et sa route toujours aussi impressionnante. J'ai beau la connaitre par coeur, c'est toujours un régal, par beau temps bien sur, même si les nuages plus nombreux, accrochent les sommets environnants. Le Col d'Aubisque (Alt: 1709m. 7.6 kms à 4.7% de moy) par cette face est une formalité pour un gars entrainé et c'est en touriste profitant du moindre point de vue, de la moindre odeur, du moindre son que j'atteins le sommet me vidant au maximum la tête et l'esprit.

Malheureusement, en ce moment la vie se faisant un vilain plaisir à mettre des obstacles sur mon chemin, dans la descente, à l'entrée de Gourette, une voiture au milieu de la route et sans clignotant m'oblige à la doubler, comme le veut le code de la route, par la gauche. C'est en arrivant à hauteur de la portiére conducteur que celui-ci décide de tourner à gauche. Ma chaussure accroche sa roue et son pare-choc, faisant dérailler la chaîne. Je suis légérement projeté mais je ne sais par quel miracle, j'arrives à me maintenir sur le vélo... Ouf, plus de peur que de mal... Ensuite, le conducteur qui commence à m'agresser me laisse le choix entre 2 solutions, soit lui mettre un grand coup de boule, soit rester zen. Je choisis la 2° solution, me disant avec phylosophie que la vie me donne l'occasion de lui prouver mon réel désir qui est de retrouver la sérénité.... Donc c'est avec courtoisie mais fermeté que je me sépares de celui qui a failli interrompre cette belle balade. Aux Eaux-Bonnes, je tourne à droite par le village de Béost qui offre une belle vue sur Larruns. Ensuite, je rejoins Louvie-Juzon par la vielle route et prends la direction de Nay. Aprés quelques kilométres, 2 collégues Vanessa et Vincent partis faire des canyons en Espagne me doublent et m'offrent quelques petits gateaux. Puis c'est le retour vallonné à la maison que j'atteins un peu avant 19h avec 208 kms au compteur à 23.3 de moy.

Belle journée où le loup solitaire a refait le plein de force en attendant de refaire le plein de moral... Ah, ces femmes !!!!!!!!!!!! Elles vont finir par m'avoir ! Mais putain, le loup, c'est coriace et le sportif, c'est endurant et dur à la souffrance... alors je vais continuer à remplir ce blog d'articles et de photos....

Allez, Dimanche prochain, c'est la cyclosportive "LA LAPEBIE", alors vivement Dimanche...



La chapelle Saint-Michel à l'entrée de Gripp.

Artigues, son lac et la vallée de Gripp.



Mes respect Mr GODET.

Depuis le sommet, coté La Mongie.



Le géant vous salue bien.

Depuis le sommet, coté Baréges.

Depuis la chapelle de Piétat, la vallée d'Argelez-Gazost avec à gauche Saint-Savin.

Dans la montée du Soulor, en bas à gauche Arrens, au dessus le col de Bordéres, en face à droite,
le Pic du Midi d'Arrens (2267m) et ses crêtes.



120 ° col de la saison pour le Montagnol

Le cirque du Litor et sa route à flanc de montagne. Au fond le cold u Soulor

Le versant Est du col d'Aubisque et son hotel au centre.

Les vélos géants au sommet de l'Aubisque



Larruns vu depuis le village de Béost.

Dimanche 19 Aout - CYCLOSPORTIVE "LA LAURENT JALABERT"

Ce WE, au programme, "la Laurent Jalabert" à Mazamet. Samedi vers 11h, je décolles de la maison avec le fourgon direction Mazamet. La chaleur est lourde sur la route, mais supportable en arrivant à Mazamet vers 16h où un vent d'autan souffle fort. Je m'installe au camping municipal de La Lauze puis à vélo, je vais récupérer mon dossard. Là je découvre les fréres Jalabert en scéance de dédicace avec un Laurent toujours aussi disponible. Puis je rentre au camping pour me reposer et me rafraichir.
Dans la nuit le vent ne faiblit pas et c'est sous les rafales que je me réveille ce Dimanche matin. Le départ prévu à 8h me laisse le temps de me préparer et de m'échauffer tranquille avant de rejoindre les 230 concurents pour le départ de la " Laurent" grand circuit de 151 kms avec 2500m de dénivellés dans les monts de Lacaune. Le vent toujours soutenu empeche le peloton de rouler à vive allure sur les 10 kms de plat avant la 1° difficulté qui nous améne au col de Fauredon où un peloton s'est formé. Les bois nous offrent une route ombragée trés agréable en cette journée de canicule. Aprés le col de la Tranchée, nous longeons le lac de Raviége jusqu'à La Salvetat-sur-Agout. Ensuite nous arrivons sur le joli lac de Laouzas que nous contournons afin de remonter vers Lacaune. à Nages, nous attaquons la grosse difficulté de la journée, le col de Montalet à 1206m avec des rampes à 12% sur 3 kms. Le peloton explose, je pars devant accompagnés de 4 ou 5 gars. La traversée de lacaune est une catastrophe, les bénévoles chargés de la circulation sont dépassés et c'est à travers les véhicules que nous zigzaguons pour attaquer le col de Piqutalens. Je monte à mon train entrainant un gars de Saint-Cyprien dans ma roue qui me suivra jusqu'à l'arrivée. Un peu plus bas, nous prenons la route qui monte au plo de Abié. Je reste sur la grosse et avec l'aide du vent je ne descends pas en dessous de 25 de moy toujours accompagné de mon compagnon de route. Aprés le barrage du lac de Raviége, nous rempruntons le circuit à l'envers pour franchir à nouveau le col de la Tranchée. Puis c'est le long du lac des Saints Peyres que nous entamons le final où 2 gars nous rattrappes. Puis c'est la plongée sur Mazamet où je franchis la ligne en 5H09' à 29.2 de moy. en 53° position seulement 36' aprés le 1°. Trés belle cyclosportive dans des paysages somptueux et pour une fois au soleil.
Je récupére mon diplôme et pars manger à la salle des fêtes un bon couscous. Vers 14h, je rejoins le camping pour une douche rafraichissante et c'est vers 15h que je quittes Mazamet avec le fourgon pour rejoindre mes montagnes. Je n'avais pas fait 20kms que sur la déviation à 4 voies de Puylaurens, j'éclates du pneu avant. Bon, il fallait bien une péripétie pour finir la journée ! Moi qui voulait changer les pneus, c'est maintenant une obligation. Une heure plus tard, je reprenais la route sous la chaleur pour aprés Mirande retrouver la fraicheur sous les orages. Aprés les 36° à Toulouse et à Auch, c'est 25° que j'avais à la maison en rentrant. Ouf, on respire au moins !
Et maintenant, 15 jours de repos avant la Lapébie et sa derniére édition le Dimanche 02 Septembre.

Installation au camping



Laurent Jalabert en pleine scéance de dédicace

Les 2 fréres Nicolas et Laurent derriére le stand
de la ligne de vétement de Laurent.



Le Montagnol prêt pour sa 7° cyclosportive 2012

Départ de la "LAURENT JALABERT"

Sur le podium, Nicolas JALABERT, Laurent sur la ligne départ, casque
rouge à droite.



Les fauves sont lachés !

A 30kms de l'arrivée

Repas d'aprés course.

Dimanche 12 Aout 2012 - CYCLOSPORTIVE "LA BAROUSSE-BALES"

Ce WE au programme, la Barousse-Balés que je n’avais pas couru depuis 2008. Samedi après-midi, je pars donc de la maison avec le fourgon direction Izaourt en Barousse. Le temps, beau et très chaud depuis 2 jours, est en train de changer annonciateur d’un Dimanche pourri. J’arrive à Izaourt où je récupère mon dossard et mon sac offert par l’organisation. Pâté, boudin, vin rouge… pas très sportif tout çà, mais tellement bon ! Je traine un peu, puis je pars me chercher un endroit pour la nuit que je trouve dans un champ en pleine nature. Veille de course classique entre préparatifs de course et pâtes. Les nuages s’accumulent. Pas bon signe.

Réveil, 6H15, je m’habille tout en mangeant mon gâteau sport puis je vais me garer proche de la ligne de départ et d’arrivée. A côté de moi vient se garer le fourgon du club de Bagnéres conduit par Manu que je connais bien. Petit échauffement puis c’est le départ du grand circuit à 7h30 avec environ 220 concurrents sous un ciel gris et menaçant. Au programme 138kms avec les cols d’Azet, de Peyresourde et le Port de Balés. Nous n’avons pas fait 1 km qu’il se met à bruiner. Aie, aie, encore une course de merde pour le temps ! Mon objectif est de suivre les premiers jusqu’au pied du col d’Azet, soit plus de 50 kms. Nous rejoignons la vallée d’Aure par Labarthe de Neste toujours sous la bruine. Dans le peloton, çà frotte avec des accélérations et des freinages. Après Labarthe, çà ne rate pas, sur une route mouillée, un mauvais freinage et c’est 5 ou 6 gars par terre. J’évite de justesse. Un peu plus loin, un passage à niveau à 45° et c’est un jeu de quille, les gars tombent comme des mouches… j’évite de nouveau. 1H de course, je regarde le compteur, 36 kms. Ça va, les élites restent raisonnables et mon objectif est atteint au pied de la 1° difficulté. Là, je laisse partir et je prends mon rythme en montant  à ma main. Le brouillard et le froid sont au RDV comme pour l’étape du tour. La descente est dangereuse, je fais gaffe. Dans la vallée de Génos, un peu de chaleur nous fait du bien avant d’attaquer le Peyresourde. C’est la 3° fois que je le monte de ce côté depuis le début de saison. Pareil au sommet, brouillard et froid. La descente est difficile à cause de la pluie qui gicle dans les yeux. Puis c’est de suite la montée du Balés. Les cuisses sont dures dans le départ à plus de 10% de moyenne. Je coince un peu. Passé le dur, je retrouve un peu d’énergie et c’est sur un bon rythme que j’atteins le sommet toujours dans le brouillard et le froid (14° au compteur en haut et 12° dans la descente). Là, je fais gaffe, cette descente étant déjà dangereuse par temps sec, je fais bien attention. Par contre le froid nous tétanise. Je grelotte sur le vélo. A la sortie d’un virage, une ambulance et un gars le visage ensanglanté. Un autre virage et c’est un tout droit pour un autre. Jamais vu autant de chutes le même jour ! Enfin, le calvaire prend fin et nous atteignons le bas de la descente avec pllus de sensibilité dans les doigts. J’ai du mal à passer les vitesses ! Putain, vivement les courses en plein été !! Un groupe se forme et c’est à plus de 45 kms/h que nous parcourons les 20 derniers kms. Je franchis la ligne en 84° position en 5H 23’ soit 25.6 de moyenne. Comme un pied de nez, en sortant de la salle de restaurant le soleil pointe son nez.

Maintenant, semaine de repos pour Dimanche prochain me préparer à la « Laurent Jalabert » à Mazamet. Espérons sous le soleil…




Départ dans le gris et la bruine

Dans le Col de Peyresourde.

 

Samedi 04 Aout - VIREE VELO ENTRE ARIEGE ET AUDE.

Ce Vendredi, aprés une journée de boulot, je charge le fourgon et aprés une halte à Tournay, me voilà parti en direction de l'Ariége. Pris par le temps, je me décides de dormir avant le point de départ de ma virée du lendemain et c'est à Saint-Martin-de-Carap au dessus du Col Del Bouich avant Foix que je me pause pour la nuit.
Le lendemain, réveil sous le soleil malgré des nuages sur les montagnes. Un bon petit-déjeuner et je descend sur Foix afin de laisser le fourgon au pied du Pas de Souloumbrie, à Bompas exactement un peu avant Tarascon.
C'est vers 8h que je demarres ma virée en remontant la vallée de l'Ariége, via Tarascon, Luzenac et Ax-les-Thermes. Là, j'attaques le gros morceau de la journée, le Port de Pailhéres (Alt: 2001m. 18.2kms à 7.2% de moy.). Au départ, je rejoins une jeune et charmante cycliste avec qui j'entame la discussion, elle vit en Andorre mais est originaire d'Arrens-Marsous, une voisine quoi. Quelques lacets plus haut, on se souhaite une bonne journée et je monte à mon rythme ce col que je ne connais pas. Les 10 premiers kilométres s'effectue sous une couverture nuageuse et dans les bois. Aucun interêt. Puis à hauteur des batiments de la station de ski d'Ascou-Pailhéres, je sors des bois en même temps que je passe au dessus des nuages. Le paysage devient superbe en même temps que la pente devient sévére. J'atteinds le sommet dans la fraicheur au milieu de nombreux cyclistes déjà présent. Aprés avoir admiré le panorama, je plonge dans la descente trés sinueuse coté vallée de l'Aude. A moitié descente, je m'arrête pour prendre des photos au bord du ruisseau dans un cadre idyllique. Des chevaux paissent dans les estives au milieu de vaches. A ce moment, je suis seul au monde et je ne fais plus qu'un avec la nature en me remplissant de son énergie et de sa beauté.... Allez, je ne fais que commencer ma virée et je me force à continuer la descente. Plus bas c'est la traversée de Mijanés et en bas je passe au pied du village d'Usson et des ruines de son chateau. Puis, sur quelques kilométres je longe l'Aude que nous avions emprunté avec le club pour Pentecôte jusqu'à l'usine electrique d'Usson. Là, je tourne à gauche pour monter 2 cols qui s'enchainent, celui des Clauzels puis celui des Aychides (Alt: 1007m. 6.4kms à 4.2% de moy.). La route au début est à flanc de falaise entre corniches et petits tunnels, offrant une vue imprenable sur les gorges sauvage de l'Aude en contrebas. Puis c'est l'arrivée sur le plateau d'Aunat, où j'attaques le petit col de Notre-Dame (Alt: 950m. 1.4kms à 2.1% de moy) avant de rebasculer dans la vallée de l'Aude où je traverse Axat, puis les gorges de Pierre-Lys avant d'arriver à Quillan où je grimpe le Col du Portel, descendu avec le club (Alt: 601m. 5.3kms à 6% de moy). Au sommet je tourne à gauche pour monter 2 cols qui s'enchainent ,celui de Bans (Alt: 665m. 1.3kms à 3.9% de moy) puis celui de Coudons (Alt: 883m. 4.7kms à 4.6% de moy) qui m'aménent sur le plateau de Sault.
Aprés Espezel, le soleil aidant, je decides de faire une pause dans un champs. Je me mets torse-nu et je reste un grand moment allongé dans l'herbe. Hey, c'est du cyclotourisme que je fais ! Quelques coups de klaxons plus tard, je me décides à repartir. Et oui, Tarbes est encore loin !
Avant Belcaire, j'attaques le Col des 7 fréres (Alt: 1253m. 10.6kms à 3.3% de moy). Seul le final est un peu dur. Je bascules sur Prades où j'attaques le Col de Marmare souvent emprunté par "L'Ariégeoise" (Alt: 1361m. 4.9kms à 3.4% de moy.). Au sommet, je me décides de rallonger le parcours pour profiter de me monter 2 cols supplémentaires non prévus au programme qui s'enchainent, ceux d' En Ferret et de Chioula (Alt: 1431m. 2kms à 3.5%). Ce qui me permet d'avoir une belle vue sur la carriére de Talc au dessus de Luzenac. Aprés un demi-tour, je repasses au Col de Marmare que je descends pour rejoindre la route des corniches au dessus de la vallée de l'Ariége. Cette route touristique offre une vue magnifique sur la vallée et les montagnes environnantes. Quelques formations orageuses m'obligent à ne pas trop trainer. Aprés Sentenac, je franchis la derniére petite difficulté de la journée, le pas de Souloumbrie qui est une formalité par ce versant (Alt: 911m. 2.1kms à 1.4% de moy). Puis c'est la descente sur Bompas et le fourgon que j'atteins vers 17h30' aprés 193kms à 23.6 de moy, 13 cols franchis dont 12 montés, 3300 m de déniv et des cartes postales pleins les yeux.
Sur le chemin du retour, au dessus de Foix, cette nature qui m'a remplie toute la journée m'offre un dernier clin d'oeil avec 2 arcs en ciel sur fond d'orages.
Merci Ariége, merci montagnes, merci nature... je resterais toujours humble et reconnaissant  devant vous.

Réveil à Saint-Martin-de-Caralp au dessus de Foix.

L'Ariége à Tarascon.

Ax-les-Thermes depuis les premiéres rampes
du Port de Pailhéres.

A quelques kilométres du sommet, la mer de nuage sur la vallée d'Ax.

Les lacets du Port de Pailhéres et dans les bois, les pistes de ski de la station.

Panoramique depuis le sommet du col coté Sud-Ouest et vallée d'Ax-les-Thermes

Panoramique depuis le sommet du col coté Nord-Est et vallée de l'Aude.

1° col de la journée.

Le ruisseau de Pailhéres sur le plateau de Latrabe
en descendant sur Mijanés. En face le Pic de la
Llisse d'Embarré. Moment d'extase...

Chevaux "bretons" profitant des estives.

La couleur violette caractéristique
des fleurs de chardons.

Le village de Mijanés.

Au bas de la descente, le village d'Usson et son chateau.

Les ruines du chateau d'Usson.

Les gorges sauvages de l'Aude vues dans la
montée du col des Clauzels.

Sur le plateau de la vallée sans Issue (c'est son nom), le village d'Aunat
dans la descente du col des Aychides.

4° col de la journée.

l'Aude dans les Gorges de la Pierre-Lys
entre Quillan et Axat.

5° col de la journée.

Quillan vu depuis le col du Portel.

Dans la montée du col de Coudons, le village de Ginoles et au fond
la vallée de l'Aude.

7° col de la journée.

8° col de la journée.

Depuis le col des 7 Fréres, la vallée de Comus vers le Nord-Ouest.

Toujours depuis le col des 7 fréres, vers le Sud-Ouest, au centre
le Col de Pichacal et à droite le village de Montaillou.

9° col de la journée.

En montant le Col de Chioula, vers l'Ouest, le Pic de Soularac (2368m)
dominant la carriére de Talc de Trimouns.

11° col de la journée.

Panoramique depuis la descente du Col de Marmare sur la vallée de Caussou, départ de la route des Corniches
au dessus de la vallée de l'Ariége entre Luzenac et Tarascon.

Depuis la descente du Col de Marmare, Luzenac et son usine de Talc.

La carriérre de Talc.

Arrivée sur le village de Caussou.

Au départ de la route des Corniches, en se retournant, le village de
Causou et en haut le Col de Marmare.

Sur la route des Corniches, le village de Lordat et les ruines
perchées de son chateau.

Depuis Lordat, la vallée de l'Ariége avec l'usine de Talc de Luzenac.

Le village d'Appy au pied du Rocher du Courbas.

La chapelle de Sentonac



En repartant, moment de grace dans le ciel. 2 arcs en ciel au dessus de Foix sur fond d'orage vers l'Andorre.