vendredi 29 juillet 2016

29 Juillet - LE MONTAGNOL REMONTE AU CRÉNEAU !

Après une 2° plainte classée sans suite et surtout le contenu de la réponse du Procureur de la République de Tarbes qui sous entendait que ma plainte était abusive, la coupe était pleine !!!!
Petit rappel :
Ces 10 dernières années, chaque année, 150 cyclistes meurent  et 4400 cyclistes sont enregistrés aux Urgences, soit 1 mort toutes les 58h et un bléssé toutes les 2 h ! Et dont 67% par des automobilistes irrespectueux du Code de la Route.
Pour comparaison, entre 2001 et 2014, le terrorrisme a tué 102 français, pendant que les dangers de la route tuait 1950 cyclistes, soit 19 fois plus ...
Alors, puisque défendre sa vie et son intégrité physique est un acte "abusif" selon les propos d'un Procureur de la république, j'ai tout simplement écrit une lettre de dénonciation à Mr le Premier Ministre, (Lettre qui a fait l'objet d'une réponse...) avec copie à tous les élus du grand Sud ainsi qu'aux médias.
Trop, c'est trop !!!

Vous trouverez ci-dessous la lettre en question :


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Thierry BARBAROU                                                                                  Gardéres, le 29 Juillet 2016
12, Cami de Martaü
65320 GARDERES
Monsieur le Premier Ministre
Cabinet du Premier Ministre
Hôtel Matignon
57 rue de Varenne
75700 PARIS SP 07
Objet : Constat et Information
  
               
Monsieur le Premier Ministre,

  Par la présente, le cycliste mais aussi le citoyen, le contribuable et le travailleur que je suis, a l’honneur d’attirer votre attention sur certains faits qui m’obligent à réagir.
  A ma connaissance, nous sommes toujours dans un pays de droits, de libre expression où les lois et les Codes n’ont pas ou peu changés depuis plus d’une décennie et en vous rappelant que dans  une démocratie, tous les délits ou infractions à ces Codes sont sanctionnés.

 Né en 1964, je pratique le cyclisme depuis l’âge de 8 ans, âge où j’ai appris les bases et les règles du vélo à l’ASPPT Montauban. Cela fait donc 43 ans que je sillonne les routes françaises et Européennes en faisant autour de 10000 kms par an, ayant acquis, sans aucune prétention, une expérience certaine en termes de pratique et d’articles du Code de la Route. J’ai pratiqué ce sport en compétition, j’ai été, il y a quelques années, vice-président, d’un club de cyclotourisme et depuis quelques temps, j’essaie d’utiliser mon vélo comme moyen de locomotion pour me rendre sur les lieux de mon travail à Tarbes.
  Vous n’êtes pas censé ignorer que depuis plus de 10 ans, une évolution à la fois dans l’augmentation des véhicules à moteur, dans les mentalités mais aussi dans le manque de moyens, le laxisme et la banalité, rend ce moyen de locomotion et ce sport de plus en plus dangereux. La plupart des cyclistes et tous ceux qui représentent de près ou de loin ce milieu, ont pu le constater comme je le constate moi-même à chaque fois que je me retrouve sur mon vélo au milieu des véhicules à moteur.
  Plusieurs organismes, des professionnels et des journalistes ont dénoncés cette triste et inquiétante réalité que tous les élus de ce pays ne peuvent ignorés, vous compris.
  Monsieur le Premier Ministre, je me permets ici de vous le rappeler en chiffres, chiffres qui sont effrayants :
- 150 cyclistes sont tués sur les routes de France tous les ans dont 72 % par des véhicules à moteur (soit un mort toutes les 58 h !).
- 4400 cyclistes répertoriés (sans parler de ceux qui ne vont pas aux urgences) sont blessés tous les ans en France dont une partie avec des séquelles lourdes et irréversibles (soit un blessé toutes les 2 h !).
  En résumé, en une décennie, la route et ses dangers ont tués et blessés plus de cyclistes que le terrorisme et ses bombes n’ont tués de Français… Quand on constate les moyens que vous mettez en œuvre pour l’un et pour l’autre, le cycliste mais aussi le contribuable que je suis est en droit de se poser des questions.
  - Question sur le nombre croissant d’effractions au Code de la Route commises par les Français que je constate au quotidien comme non-respect des limitations de vitesse, des priorités à droite, des portables au volant, du bon positionnement dans les ronds-points, …etc et vis-à-vis des cyclistes non-respect des stops, des dépassements et de la distance minimum…en fait non-respect du 2 roue…(certain cycliste aussi ne respecte pas le Code de la Route comme j’ai pu le constater…)
  - Question sur l’impunité dont bénéficient tous ces automobilistes qui ne cessent de commettre ces effractions au Code de la route (en 43 ans de pratique je n’ai jamais vu ou entendu dire qu’un représentant des forces de l’ordre avait verbalisé un automobiliste après une effraction commise envers un cycliste…)
  - Question sur le fait que seuls les assurances et les contribuables (Frais médicaux remboursés par la Sécu…) paient les conséquences de l’irresponsabilité, de l’inconscience et du non-respect des Codes de certains automobilistes fautifs.
  - Question sur la banalité et le peu d’information de toutes ces victimes cyclistes de la route qui sont plus nombreuses que celles du terrorisme (seulement un paragraphe dans les journaux locaux ou dans la rubrique nécrologique…)
  - Question sur le manque d’entretien des routes (graviers, trous et bouches d’égouts  non bouchés très dangereux pour des pneus de 23mm de large seulement…), des bas-côtés (graviers, cailloux, branchages, boue…), des herbes hautes (pouvant provoquer des blessures profondes quand il s’agit d’orties, de ronces ou de jeunes pousses d ‘acacias qui obligent les 2 roues à faire des écarts au milieu de la circulation. Empêcher la progression du seul moyen écologique de locomotion n’est pas un acte écologique mais bel et bien un acte économique…), des pistes cyclables (manque d’entretien, véhicules garés, piétons circulants, panneaux divers, obstacles dangereux…) et j’en passe. Manque d’entretien qui génère des obstacles pour les 2 roues les empêchant de progresser en toute sécurité.
  - Question sur les aménagements neufs du réseau routier comme les terre-pleins, les ronds-points, les bordures, les dos d’ânes, les passages à niveau, les carrefours, les pistes cyclables et j’en passe… qui sont conçus pour les véhicules à moteur sans tenir compte des 2 roues augmentant leur insécurité.
  - Question sur la justice d’un pays des droits de l’homme qui refuse de recevoir les plaintes de ces citoyens.
- Question sur l’avenir de ce moyen de locomotion qui est mis en avant et respecté dans d’autres pays, mais qui n’est plus respecté en France…
  - Question sur l’avenir d’un pays où plus rien n’est respecté, même plus les forces de l’ordre …

  Comme vous le constatez, le cycliste mais aussi le contribuable et citoyens français que je suis ne cesse de s’inquiéter pour son avenir, celui de ses enfants et si on me laisse en vie, sur celui de mes petits-enfants que je souhaite voir naître.
  En ce qui concerne le cycliste, je vous informe que depuis 2006, j’ai été victime de 3 accidents dont la responsabilité des automobilistes était engagée. Je suis constamment victime d’insultes. J’ai été victime d’une agression physique ayant fait l’objet d’une plainte et je subis régulièrement des agressions d’automobilistes qui commettent des effractions aux articles R414-10 et R414-4 du Code de la route dont l’une d’entre elle a fait l’objet d’une nouvelle plainte. J’ai bien sur informé à plusieurs reprises certains élus qui m’ont répondu par des discours politiques mais jamais par des solutions concrètes sur le terrain.
   En plus de  la crainte de l’accident que j’évite à chacune de mes sorties, c’est surtout la réponse du Procureur de la République du Tribunal de Tarbes à ma dernière plainte qui me font réagir et qui justifie ce courrier. Effectivement, outre le fait que mes 2 plaintes aient été classées sans suite par ce même Procureur, c’est le contenu de sa dernière réponse qui m’a fait bondir. Il m’a tout simplement rappelé dans un paragraphe que les plaintes abusives étaient soumises à des poursuites judiciaires. D’après lui et la justice du pays qu’il représente, défendre son intégrité physique face à la violence routière, serait, ni plus ni moins qu’un acte abusif !!! En subissant tous les faits énoncés ci-dessus, vous imaginez bien Monsieur le Premier Ministre, que je ne peux tolérer une telle réponse qui ne justifie pas la réalité du terrain et qui est révoltante pour un cycliste qui ne cesse de se battre pour rester en vie au milieu des dangers de la route. J’invite le Procureur de la République à partager mon quotidien, il comprendra vite son erreur. Pas plus tard que cette semaine, j’ai été accroché par une remorque dans un rond-point. Le chauffeur du fourgon et de la remorque ne s’est pas arrêté, et toutes les voitures qui suivaient non plus… A quelques centimètres prés, je pouvais passer sous la remorque sans que personne ne s’en soucie !
  Alors quand vous parlez de solidarité dans vos discours, d’égalité de fraternité et de liberté, la réalité de la rue nous prouve qu’elle disparait jour après jour au même titre que le respect, respect d’autrui, mais aussi respect des Codes et des lois qui régissent une démocratie qui se prétend être toujours un pays des droits de l’homme…Allez raconter cela aux familles qui pleurent les 150 cyclistes qui paient chaque année de leur vie une politique de tolérance voire de laxisme où la justice refuse de défendre les victimes contre des « hors la loi » sous prétexte de manque de personnel ou autre raison inacceptable pour tous les contribuables que nous sommes.
  Aujourd’hui, je constate en règle générale, et je ne suis pas le seul, que dans tous les domaines, qu’ils soient privés ou professionnels, une catégorie de citoyen français ne respecte plus les lois de ce pays. Depuis plus de 30 ans, une politique de tolérance, de prévention et de laxisme ont amené cette minorité à commettre toutes sortes de délits qui ne sont plus sanctionné depuis longtemps et qui les incitent à profiter encore plus de l’impunité que la justice leur octroie. Pire, certaine victime sont même obligés de payer des préjudices à leurs agresseurs…Nous en vivons les conséquences au quotidien, que ce soit dans les villes, dans les campagnes, dans les entreprises et bien sûr, sur la route… j’ai pu constater aussi qu’une catégorie de citoyens français, qui sont souvent les mêmes que ceux précités, sont incapables de s’assumer, devenus par une politique d’assistanat, des irresponsables et par voie de conséquence, des inconscients, dangereux pour leur concitoyens. Ces surtout ceux-là qui arrivent à tuer des pauvres cyclistes…et c’est aussi ceux-là qui sont susceptibles de basculer dans ce fléau qu’est le terrorisme. Il est clair que ces propos n’engagent que ma responsabilité, responsabilité que j’assume totalement.
   Par contre, une démocratie régie par des Codes et des lois, se doit de sanctionner tous les délits commis par ces personnes-là et par tous ces profiteurs. Nous avons tout pour vivre heureux dans ce pays mais un climat de crainte et d’injustice grandissante nous en empêche. La montée en puissance d’un parti politique comme le Front National en est la preuve…

 Pour en revenir à l’objet de ma lettre, vous aurez compris que je ne tiens plus les automobilistes pour seuls responsables de l’insécurité que je subis à chacune de mes sorties en 2 roues. Les pouvoirs publics qui n’entretiennent pas les routes et leurs bas-côtés et qui les aménagent en créant des dangers et des obstacles supplémentaires en sont aussi responsable. Tous les élus, Maires, préfets, présidents de région et membres du gouvernement dont vous faite partie qui cautionnent cette situation sans prendre de mesures concrètes, en sont aussi responsables. Enfin, la justice de ce pays qui pour différentes raisons refusent de recevoir des plaintes où refusent de sanctionner certain délit, en sont aussi responsable.
  Vous n’êtes pas censé ignorer que de plus en plus de famille française sont dans des situations financières plus que délicates et que ces personnes s’orientent vers des moyens de locomotions économiques comme le vélo afin de pouvoir boucler leur fin de mois. Vous n’êtes pas censé ignorer aussi que les vélos avec assistance électrique ont progressé de 30% en 2015. Dans l’avenir, il y aura donc de plus en plus de 2 roues sur les routes de France, ce qui est logique vis-à-vis de certain pays européens.
  Par contre, Monsieur le Premier Ministre, si vous ne rétablissez pas très vite le respect, l’ordre et les sanctions dans ce pays afin de ramener certain automobiliste, citoyen hors la loi ou profiteur en tout genre, à la raison et si vous ne réaménagez et n’entretenez pas les réseaux routiers de ce pays qui ne sont pas ou peu adapté aux 2 roues, alors ce n’est pas 150 morts par an que vous aurez sur la conscience mais beaucoup plus !
   Personnellement, si vous pensez que je vais arrêter ce moyen de transport qui pour moi est un équilibre de vie, de bien-être moral et physique et un moyen écologique et économique, vous vous trompez. Si vous pensez que je vais rester les bras croisés sans rien dire et rien faire à attendre sagement de faire partie des 150 cyclistes qui meurent chaque année, vous vous trompez aussi. Si vous et tous les Procureurs de la République pensez que je vais cessez de déposer des plaintes par peur de poursuite contre plaintes abusives, vous vous trompez. Enfin si pensez aussi que le citoyen et contribuable que je suis va défendre un pays qui rejette la défense de ses droits, et bien vous vous trompez aussi !
  Il est évident que je ne cherche pas à minimiser les actes terroristes commis depuis quelques temps sur notre territoire mais ma guerre à moi est de me battre pour rester en vie quand je pédale, contre les responsables qui tuent l’un des nôtres toutes les 58h.
 En attendant que vous preniez les mesures qui s’imposent, je vous informe que sans le soutien des forces de l’ordre et de la justice, je vais donc continuer à me battre afin de me faire respecter et de défendre mon intégrité physique et ma vie. Tous les automobilistes qui ne respecteront pas le Code de la route et le cycliste que je suis s’exposeront à des coups de pieds dans leur carrosserie, des bris de glaces ou des coups de poings sur la personne si nécessaire comme je l’expliquais au gendarme d’Ossun lors du rejet de ma 1° plainte. Vous ne me laissez plus le choix…

 Comme cette lettre est une lettre d’information, je ne vous envoie pas tous les documents en ma possession que j’ai accumulé ces dernières années et qui sont les preuves de ce triste constat. Je les garde pour l’avocat qui s’occupera de me défendre lors de mon prochain accident que je ne pourrais éviter éternellement si rien ne change. Par contre, toutes les personnes citées ci-dessus que je considère responsables de cette situation de totale insécurité devront répondre de leur inaction en connaissance de cause car j’ai décidé d’adressé des copies de ce courrier au maximum de personnes concernés de près ou de loin par la situation catastrophique du quotidien du 2 roues. Je vais continuer aussi à prendre des photos de tous les obstacles dangereux qui sont de la responsabilité des pouvoirs publics. J’ai aussi décidé d’acheter une caméra GO PRO afin de filmer toutes les effractions commises par les automobilistes dont les vidéos serviront à défendre mes intérêts. Et pour finir, j’ai aussi décidé de prendre des mesures devant notaire au cas où je ferais partie des 150 tués, afin que d’une part, la presse rende publique ce courrier et cette situation et d’autre part que ma famille continue mon combat en punissant les coupables et les responsables de ma disparition éventuelle.

  Je sais très bien que vous ne lirez jamais ce courrier personnellement aussi je m’adresse aux personnes qui le liront. Ce n’est pas la peine de me répondre, surtout si ce sont avec des discours politiques. A mon âge, cela fait bien longtemps que l’on ne croit plus aux paroles mais seulement aux actes… J’espère être toujours en vie pour voir les éventuels changements.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le premier Ministre, l’expression de mon profond respect.





Thierry BARBAROU


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dimanche 24 juillet 2016

Samedi 23 Juillet - BAGNERES / PIC DU MIDI A VTT

Depuis mon arrivée dans les Pyrénées, qui date depuis longtemps maintenant...et oui le temps passe ...j'avais un désir, celui de monter au Pic du Midi à vélo ou plutôt à VTT bien sur !
Pour être monté au Pic du Midi à pied, pour avoir monter le Col du Tourmalet à plusieurs reprises, j'avais cette lacune.
L'achat de mon VTT carbone en Mars dernier m'a décidé à me lancer dans ce nouveau défi que j'ai préparé ces 15 derniers jours.
C'est donc en cette journée du 23 Juillet 2016 que je me pointe à Bagnéres-de-Bigorre où je gare ma voiture. Vers 11h15, malgré un temps couvert, je pars sur mon VTT affronter les 2240m de dénivelés qui m'attendent. La montée au Col du Tourmalet se fait par la route principale en gérant bien l'effort pour en garder sous la pédale. En traversant La Mongie, je croise la fin de la course pédestre "La Caminade" qui fait une boucle en passant justement par le Pic du Midi. J'atteins le sommet en 1h 42' ce qui fait plus de 10 de moyenne. La fraîcheur bien présente m’empêche de stopper trop longtemps et après une photo rapide, je prend la piste à droite qui monte au Pic sur 7 kms. Malgré les nuages bien presents, des trouées permettent d'apprécier le paysage. Jusqu'au Col de Sencours, c'est assez facile avec une pente de 6.6% de moyenne et un passage magnifique a hauteur du lac d'Oncet. Plus haut, je devine de temps en temps les antennes de l'observatoire. Passé le col du Sencours, les choses sérieuses commencent,et la difficulté principale réside dans le fait de conserver l'équilibre au milieu de graviers et de cailloux avec des ravines en plus de la pente sévère (17.6 % de moyenne sur les 2.4 kms qui mènent au bout de la piste). C'est donc parfois à pied que j'atteins tout d'abord l’Hôtellerie du Pic, puis la fin de la route au pied du monte-charge à exactement 2780m soit moins de 100m en dessous des bâtiments de l'Observatoire à peine distincts à travers les nuages. Le reste se faisant sur un sentier de randonnée, c'est impossible pour moi d'y monter.
En redescendant, n'ayant plus d'eau dans le bidon, je refait le plein....dans un mur de neige ! Je l'avais déjà fait en plein hiver mais jamais en été !
J'avais prévu de redescendre par le chemin de la Coume du Pic entre Sencours et Pic du Midi mais les nuages trop nombreux qui montaient de la vallée m'ont décidé à rentrer par le même chemin.
Voilà, une lacune de cycliste comblée et un cycliste comblé !!
Mais, c'est décidé, je le referais un jour avec un temps dégagé...et depuis Luz-Saint-Sauveur pour changer.

Les "Mounaques" de Campan
La cascade d'Arizes au pont
d'Artigues


La vallée de Gripp à la limite des nuages
A la Mongie, prés de la ligne d'arrivée de la "Caminade"


Au dessus de la Mongie, vue sur le Pic d'Espade (à droite)...

et vue sur le bas de La mongie dans les nuages


A quelques hectométres du sommet du Tourmalet, pris par un photographe professionnel.


Notre ami "Octave" bien posé au sommet

Depuis le Tourmalet, vue coté Baréges et Luz

Dans le 1° km de la piste du Pic du Midi

Vue sur Baréges
Dans le 1° tunnel


Arrivée à hauteur du lac d'Oncet

 

L'ancien batiment du col de Sencours, 1° observatoire pour les scientifiques
 


Vue sur le lac d'Oncet entre Sencours et Hotellerie du Pic


Les nuages montent de la Coume de Sencours

Les batiments de l'observatoire du Pic du Midi dans une trouée

L'Hotellerie des Laquets
 
Le lac d'Oncet au pied de la Bonida



Dans un des derniers lacets avant l'Hotellerie du Pic
De gauche à droite, La Bonida, le Pic d'Oncet et le col d'Oncet


Le Pic du Midi vu depuis l'Hotellerie des Lacquets
Mon compagnon de virée sur la terrasse de l'Hotellerie


 

Depuis l'hotellerie des lacquets, vue sur le col de Sencours et la piste du Pic

Le Montagnol dans les nuages !
 

Dans le dernier lacet de la piste du Pic, un mur de neige...
....qui m'a permis de remplir le bidon !


A la fin de la piste, au pied....
....du monte-charge de l'Observatoire à 2780m !


Je l'ai vu !!!

dimanche 10 juillet 2016

Samedi 09 Juillet - TOUR DE FRANCE DANS LES PYRENEES

En ce Samedi 09 Juillet, date de la 8° étape du Tour de France PAU / LUCHON, le parcours passant à Guchen devant la maison des parents de ma compagne, il était évident qu'avec en plus le beau temps, nous n'allions pas rater l'occasion d'être présents au bord de la route. Marielle et les enfants en voiture et moi à vélo, nous montons à Guchen le matin. Je laisse tous le monde sur place pour me diriger dans le col d'Azet au dessus du village d'Azet qui offre un magnifique panorama sur les montagnes et sur la route du col.
Aprés la caravane toujours aussi appréciée, c'est au tour des coureurs qui seuls ou en petits groupe passent devant nous.
Plus tard, nous apprendrons le festival acrobatique de Chris Froome dans la descente du Peyresourde qui lui vaudra la victoire d'étape et le maillot jaune...
Profitant du beau temps, je décides de finir de gravir le col d'Azet pour rejoindre Lannemezan.

Les 3 échappées à Guchen, T.Martin, R. Majka et T. Pinot.
Les Sky et Froome (en 2°) à la chasse derrière avec...

...Quintana...
...Van Garderen et Contador...

...R.Bardet (en 2°)...


T. Voeckler...




G. Villermoz...
L'erythréen D. Teklehaimanot

Entre Bazus-Aure et Camparan, vue sur le village de Guchan et la vallée de Saint-Lary

Le mythique "El Diablo" !!

Le village d'Azet

Arrêt dans le col d'Azet avec vue sur Saint-Lary et le Pla d'Adet.
En face Azet, le vallon qui remonte vers
le Pic Lustou

En fond de la vallée d'Aragnouet. A droite, le Pic Méchant

Le Pla d'Adet.
Parapente 

Les supporters en tous genre sont bien là
La caravane arrive...

...dans la traversée....
...du village d'Azet.




Maillot jaune sur fond d'Arbizon.








L'hélico se pointe annonçant l'arrivée des coureurs.



Les premiers dans la traversée d'Azet








Les Sky protegeant Froome

...
....avec son déhanchement caractéristique.

Au centre A. Valverde

T. Voekler et...
...sa coupe aussi carctéristique

T.Martin echappé à Guchen

T.Pinot en tête à Guchen à la "ramasse"
comme la veille dans l'Aspin.


Nibali loin des favoris
Le maillot jaune Van Avermaet à la peine


Le maillot à pois du jour t. De Gendt ne le sera plus le soir à Luchon

Le sprinter B. Coquard bien placé


Le "Gruppetto"




La voiture balai dérriére...

...M. Cavendish et un de ses coequipier vraiment à la dure, mais qui
arriveront dans les délais.
Sommet du col d'Azet sur fond de Pic de Hourgade