mardi 20 mai 2014

Mercredi 14 Mai - HAUTACAM ET GALERE...

Après un magnifique WE avec mon club de vélo où j'avais toutefois cassé le câble de mon dérailleur avant au niveau de la poignet, rendant mon vélo neuf indisponible pendant 3 semaines, c'était Mardi e rentrant chez moi une soirée difficile car j'avais tout simplement écrasé mon plus vieux compagnon à 4 pattes avec mon fourgon, lui brisant le bassin en 3 morceaux.
Aussi ce Mercredi matin, en chômage partiel pour la journée, avec un désagréable sentiment de culpabilité et sans motivation, je me suis mis un "coup de pied au cul" pour partir avec mon 2° vélo, celui avec lequel j'avais fait Paris-Roubaix et que je venais de récupérer chez mon père qui me l'avait réparé. Sans but précis, je décide de monter Hautacam. Je pars donc vers 11h de chez moi. La chaîne neuve a du mal a accrocher les dents un peu usés des couronnes des 42 et 52. Cela est délicat car dés que j'appuie en force, çà déraille... Décidément, les vélos ne m'ont pas à la bonne pour le moment.
Vers 12h30, après avoir traversé Lourdes, je me présente au pied d'Hautacam que je monte tranquille. Le soleil bien présent est caché par quelques nuages souvent présent sur ce secteur. La chaîne a toujours ses sauts qui m'empêche de me mettre en danseuse pour relancer. Et patatrac, à 1 kms du sommet, c'est la poisse, la chaîne neuve se retrouve sur la route ! Décidément, entre le chien et les vélos, c'est la cata ! Bon, je regarde, c'est le maillon qui ferme la chaîne qui s'est ouvert... je redescend un peu et trouve 2 randonneurs au pied de leur véhicule. Comme à Paris-Roubaix, je fait une réparation de fortune. Je n'arrive pas à serrer le maillon et je descend sans pédaler. Arrivé au bas, je fait environ 1 kms avec le dérailleur qui se lève de temps en temps, soit au passage du maillon, soit parce qu'il n'a pas supporter Paris-Roubaix, quant tout à coup j'entends un grand craquement derrière ! C'est le dérailleur qui s'est levé et qui s'est coincée dans la roue arrière en s'arrachant de la pâte de fixation au cadre, cassant à nouveau la chaîne ! Là, c'est le ponpon...moi qui était parti pour me changer les idées rapport aux chien, je suis gâté ! Bon, j'appelle Marielle qui ne pouvant pas venir me chercher pour cause de boulot appelle à son tour son frère cadet, Laurent présent sur Tarbes pour avoir emmené un membre de sa famille pour un examen de santé. Il se propose à venir me récupérer et c'est avec lui et sa fille Elise que je rentre chez moi vers 17h.
Un grand merci à Laurent pour sa disponibilité qui pour l'occasion a vu où j' habitais même si j'aurais préféré que ce soit dans d'autres circonstances.
Le temps de se changer et je suis parti voir mon chien hospitalisé à la clinique vétérinaire de Soumoulou.
Il y a des périodes comme çà où le destin s'acharnent...
Bilan sportif, je n'ai plus mon vélo neuf, je n'ai plus mon second vélo...reste plus que mon vieux vélo en acier de 25 ans que j'utilise sur mon hometrainer...
La cyclosportive "L'Audoise" qui a lieu le Jeudi de l'ascension sur laquelle je suis inscrit sur le grand parcours, est fortement compromise...

Depuis les hauteurs d'Artalens-Souin dominant la vallée d'Argelez-Gazost


A environ 3 kms du sommet, panoramique sur la vallée d'Argelez. A gauche, la vallée de Cauteret, au centre celle d'Arrens et à droite celle du Bergons.

Le ruisseau d'Estibos sur le plateau Les Artigaus
Résultat de la journée, chaîne (neuve) cassée
et dérailleur arraché...

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